Résumé :
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La crise démographique que subit la médecine générale laisse craindre que le nombre de généraliste sortant de l'Université ne permette plus d'assurer un accés aux soins primaires pour tous. L'envie de pratiquer la médecine générale dépend du regard que portent effectivement les futurs généralistes sur l'exercice libéral mais également de leurs aspirations et appréhensions quant à leur exercice futur. Inciter à l'installation devient un enjeu de santé publique.Cette enquête, réalisée auprès des internes en médecine générale de la faculté de médecine de Strasbourg, a permis de proposer des pistes d'action en ce sens, dans une perspective de modernisation du système de soins. Elles s'articulent autour de trois axes : la formation, l'installation et les conditions d'exercice.
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