Résumé :
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La loi de janvier 2002-02 recommande aux professionnels d'adopter de "bonnes pratiques professionnelles". Mais, par ailleurs, elle les incite à ne pas prendre de risque. Ce qui, selon Chantal Jouglar et Christian Petel, va conduire ces professionnels à adopter "un service minimum aseptisé". Or, il faudrait, au contraire, expliquent cette chef de service et ce médecin-chef en externat pour enfants, adolescents et jeunes adultes polyhandicapés, les encourager à prendre des responsabilités en les formant et en leur faisant confiance. Car, c'est seulement en étant bien traités, que les professionnels réaliseront "un traitement acceptable des usagers".
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