Résumé :
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[BDSP. Notice produite par FNG 8GoR0x79. Diffusion soumise à autorisation]. Cet article est une réflexion éthique autour de la maladie d'Alzheimer. L'auteur s'interroge devant le constat de vide juridique. Il souligne : "Avec le malade d'Alzheimer et l'aggravation de sa pathologie, nous apportons toute notre attention à la démarche clinique, en essayant de prendre en considération tout ce qui est au plus près de l'intérêt du malade. Nous constatons souvent que la recherche du consentement éclairé pose problème. On peut être confronté à un refus du soin, à des refus d'hospitalisation ou à un refus d'envisager un accueil en établissement. Ces refus sont à respecter pour une personne âgée qui choisit en toute conscience son mode de vie, même quand il ne correspond pas à nos normes. Mais qu'en est-il dans le cadre d'une pathologie mentale ou cognitive ? Attendre et ne rien faire peut vite devenir" non assistance à personne en danger ".
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