Résumé :
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Il a paru nécessaire de repartir de la conférence internationale de service social de 1928 qui donne une information sans précédent sur l'état de la formation sociale dans le monde à cette date et montre que les débats de l'époque sont loin d'être terminés (Brigitte Bouquet). Suivent deux articles sur l'histoire de la formation du travail social en Italie (Geneviève Dell'Acqua) et en Grande-Bretagne (Geoffroy Pearson) qui présentent l'intérêt de partir des origines pour arriver jusqu'à nos jours, permettant ainsi d'avoir une vision globale de l'évolution. Concernant la Belgique, l'histoire de la formation au travail social est essentiellement vue pour la période de l'entre-deux-guerres (Guy Zelis). Pour l'Allemagne, l'article de Christine Labonté-Roset ne retrace pas l'histoire des formations au travail social, mais la biographie d'Alice Salomon, personnage injustement oublié - voire méconnu - alors qu'elle a été une des chevilles ouvrières du travail social dans son pays et que son influence a été internationale. Enfin, il ne fallait pas oublier le cas français, non en recommençant une synthèse de l'histoire du travail social, faite par ailleurs, mais en analysant les incidences de l'histoire des formations sur le travail social actuel (Henri Pascal).
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