Résumé :
|
Sept structures de soins aux toxicomanes ont accepté de participer. Il s'agissait de deux structures d'accueil de bas seuil (le bus échange de seringues de Toulouse et la boutique d'accueil pour toxicomanes Intermède), du centre hospitalier spécialisé de Toulouse, du service de soins spécialisés de la maison d'arrêt de Toulouse, d'un centre délivrant de la méthadone, d'un service d'urgences et d'un service de consultations de médecine interne. Le recueil d'informations s'est déroulé de février à juin 1996 auprès de 249 personnes. La prévalence observée du VIH est plutôt plus basse qu'avant et laisse penser qu'à Toulouse, comme dans le reste de l'Europe, les stratégies de prévention du VIH chez les usagers de drogue sont efficaces mais qu'elles doivent perdurer. (adapté du texte).
|