Résumé :
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Le public avoue ne pas savoir où s'informer, les médecins s'estiment insuffisamment formés sur le sujet : informer sur la qualité de l'air, c'est avant tout répondre à des attentes multiples. Depuis peu, la communication est également une obligation réglementaire, sous la responsabilité du préfet, comme le souligne la Loi sur l'Air. Pour les acteurs de l'information, l'application de ce texte est une entreprise complexe qui se heurte à des flous réglementaires, des imprécisions scientifiques et des difficultés logistiques. Le mémoire propose trois éléments de réponse : - une réflexion sur l'adéquation de l'indice ATMO avec les seuils d'alerte et les consignes sanitaires, - une proposition d'action en partenariat avec les médecins, - une "boîte à outils de communication", comprenant serveur vocal et service Minitel. (R.A.).
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