Titre :
|
Conséquences économiques de la sortie de réserve hospitalière des médicaments antirétroviraux. (2004)
|
Auteurs :
|
C. COUDRAY OMNES ;
H. VAN DEN BRINK
|
Type de document :
|
Article
|
Dans :
|
Journal d'économie médicale (vol. 22, n° 5, Septembre/Octobre 2004)
|
Pagination :
|
243-253
|
Langues:
|
Français
|
Mots-clés :
|
Rétrocession hospitalière
;
Dispensation médicament
;
Remboursement
;
Budget hospitalier
;
Assurance maladie
;
Dépense pharmaceutique
;
Dépense santé
;
Autorisation mise sur marché
;
Vente
;
Pharmacie officine
;
France
;
Médicament antirétroviral
|
Résumé :
|
[BDSP. Notice produite par ORSRA 6vuaR0x1. Diffusion soumise à autorisation]. Les médicaments qui sortent de la réserve hospitalière changent de statut, ils deviennent des médicaments à prescription initiale hospitalière. Ce changement de statut s'accompagne d'un changement de prise en charge financière. En effet, le médicament auparavant financé par la dotation globale de fonctionnement des établissements hospitaliers publics et PSPH est désormais pris en charge par l'assurance maladie. En prenant l'exemple de la classe des médicaments antirétroviraux ayant été soumis à cette procédure réglementaire en 1977, une étude pragmatique a été réalisée grâce à deux sources privées d'informations statistiques sur le médicament et à une source publique MEDIC'AM. Une question majeure a été posée, à savoir le montant transféré de la dotation globale hospitalière sur le budget de l'assurance maladie. Le poids des antirétroviraux pour la collectivité a doublé en cinq ans et s'élève en 2002 à presque 500 millions d'euros. Le changement de statut des médicaments antirétroviraux ne semble pas être la cause de cet effet inflationniste. (résumé d'auteur).
|