Résumé :
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[BDSP. Notice produite par OBRESA yR0xX2RY. Diffusion soumise à autorisation]. Vingt ans après le premier accord international sur la pollution atmosphérique transfrontière, le protocole de Göteborg situé fin 1999, marque un nouveau pas dans la stratégie conduite au niveau du continent européen. Il constitue une première étape pour lutter simultanément contre l'acidification, l'eutriphisation et l'ozone et il vise à atteindre à moindre coût un haut niveau de réduction des émissions. La France est l'un des premiers pays à participer à cet effort. Affichant des ratios d'émissions parmi les plus faibles d'Europe, elle devra néanmoins, dans les dix prochaines années, réduire encore de moitié ses émissions de dioxyde de soufre (SO2) et d'oxyde d'azote (NOx), et ceci pour un coût annuel estimé à près de 9 milliards d'euros. (R.A.).
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