Résumé :
|
[BDSP. Notice produite par FNG rPR0xaTq. Diffusion soumise à autorisation]. Quel sens pouvons nous donner à la mort ? A notre mort ? En quoi l'impensable de la mort réactive en nous une angoisse qui trouve son origine dans la naissance ? L'émotion ressentie à la mort d'un autre dépend du rapport d'identification établi avec lui. Comme la douleur éprouvée, lors de la perte d'un être cher, est fonction des liens tissés entre lui et nous. Du temps est nécessaire à l'endeuillé pour que s'effectue un travail intra-psychique, auquel Freud a donné le nom de travail de deuil. L'âge du défunt pourrait-il modifier la douleur ressentie et la durée de ce travail d'élaboration de la perte ? Enfin, lorsque nous sommes très âgés, aurions-nous plus de distance par rapport à la mort et serions-nous moins affectés de la perte d'un proche.
|