Résumé :
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La préoccupation portée par le législateur aux malades en fin de vie recourant aux soins palliatifs l'a conduit à favoriser la présence de leurs proches auprès d'eux. Le nouveau congé d'accompagnement d'une personne en fin de vie, qui s'adresse aux salariés et aux fonctionnaires, doit théoriquement permettre cette présence. Pourtant le cadre fixé par la loi pour la mise en oeuvre de ce congé est loin d'être satisfaisant ; les imperfections dont il souffre devront être rapidement résorbées si on veut réellement que les vrais bénéficiaires du congé, que sont les malades, en voient les effets.
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