Résumé :
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En France, un tiers de nos déchets ménagers sont incinérés et chaque tonne brûlée est à l'origine d'une cinquantaine de kilos de Réfiom. La gestion de ces résidus d'épuration de fumées d'incinération (réfiom) fait doublement débat : leur enfouissement en mines de sel est-il une valorisation? Et quid de ce marché en cas de moratoire sur l'incinération? Si la question des Réfiom est sensible, c'est avant tout parce que leur traitement est très coûteux. La meilleure solution consiste donc à moins en produire, mais à performance égale. Des méthodes existent pour réduire leur production à la source. Par ailleurs, des solutions nouvelles de traitement se développent, annonçant une restructuration du marché dans les années à venir.
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