Résumé :
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Dans un arrêt du 7 novembre 2000, la Cour de cassation a confirmé l'obligation de sécurité en matière médicale, en l'élargissant aux cliniques distributeurs de produits, tandis qu'elle rejetait toute indemnisation dans un arrêt du 8 novembre 2000, sous le couvert de l'aléa thérapeutique. Cette chronique tente de donner une cohérence à cette jurisprudence en marquant la frontière entre une obligation déterminée de sécurité et un "aléa" thérapeutique, assimilable à un cas fortuit exonératoire.
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