Résumé :
|
Nous aimerions montrer ici que la violence des jeunes dans un quartier n'est pas toujours un phénomène pathologique ni un mal absolu, et que savoir admettre un certain degré et une certaine forme de violence (par exemple verbale) peut constituer la meilleure prévention secondaire qui en évite l'aggravation. Nous tenons à montrer comment la violence constitue un moyen de communication et qu'elle se produit surtout chez des jeunes privés d'autres moyens de communiquer leurs sentiments, leur malaise, leurs joies, leurs tristesse, voire leurs idées. (Résumé adapté du texte).
|