Résumé :
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Longtemps réduit aux seuls immunosuppresseurs, l'arsenal thérapeutique de la sclérose en plaques s'est développé depuis les années 1990 avec l'usage de l'interféron bêta et du glatiramère, puis du natalizumab. Par ailleurs, d'autres substances anciennes ou nouvelles, apparaissent prometteuses et pourront constituer les armes thérapeutiques d'un avenir proche : il s'agit de certaines molécules anciennes revisitées (cladribine), des immunomodulateurs de nouvelle génération (fingolimod) ou des nouveaux anticorps monoclonaux.
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