Résumé :
|
Au moment où l'accord à l'amiable intervenu entre laboratoires et gouvernement sud-africain vient de mettre un terme au "procès de Pretoria", cette conclusion remet l'accent, avec une acuité croissante, sur le problème de l'accès aux soins dans les pays en développement. Alors que Kofi Annan a rappelé que "la solution n'appartient pas exclusivement aux compagnies pharmaceutiques", l'après Pretoria souligne plus que jamais la nécessité d'une "participation active de tous les partenaires de la lutte contre le sida" et d'un engagement international ferme.
|