Résumé :
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Le développement du thermalisme social a draîné une population de curistes de plus en plus importante. Les établissements thermaux ont été amené à gérer de façon stricte, leur ressource en eau minérale pour satisfaire toute leur clientèle . Il est apparu alors de nombreux problèmes d'hygiène, certains spécifiques à cette activité. Cette étude a porté sur les deux stations thermales du département des Alpes de Haute-Provence. L'auteur a étudié les différentes techniques de soins utilisées, et il a mis en évidence les principales anomalies au point de vue de l'hygiène générale. Le contrôle de ce type d'établissement a démontré que si l'eau minérale est le plus souvent de bonne qualité bactériologique à l'émergence, les installations de captage, de transport à distance, de stockage, de répartition et pour son utilisation, altèrent de façon significative la pureté de l'eau distribuée. Cet ensemble de constatations nous a amené à faire des propositions pour définir une réglementation plus adaptée que celle existant actuellement. Ainsi que des principes d'hygiène, à partir de secteur d'activité similaire : hôpital et piscine de loisirs
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