Résumé :
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[BDSP. Notice produite par FNG 27R0x8fP. Diffusion soumise à autorisation]. Prenant exemple sur ce qui existe dans les pays anglo-saxons et quelques associations françaises, les associations fédérées par la FAVEC ont ajouté à leur premier postulat, qui est de défendre les droits des conjoints survivants, celui de les aider à traverser le temps du deuil en installant des groupes de parole. Ceux-ci, souvent menés par des personnes formées à l'écoute et à l'animation de groupes et composés de personnes vivant la même situation, vont fonctionner avec des règles précises : assiduité, confidentialité, etc. De la première séance où se raconte l'histoire de son deuil, à la dernière qui ouvre une perspective sur l'avenir, les étapes du deuil sont évoquées et permettent de vivre, à des degrés plus ou moins intenses, les émotions de l'instant. Quel que soit l'âge où un deuil frappe un être humain, choisir d'entrer dans un groupe de parole permet de partager dans un respect mutuel un temps où la solitude rend la peine plus lourde.
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