Résumé :
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L'annonce en mars 2003 d'un plan anti-cancer interpelle les soigants autant que les citoyens. A la recherche des causes qui permettraient de réduire l'incidence croissante du fléau est préférée une stratégie de renforcement des moyens de dépistage et de soins. Une autre approche serait possible dans une société devenue cancérigène, avec le développement d'outils spécifiques, au premier rang desquels un registre qui ne soit pas qu'un répertoire, mais la base d'une véritable épidémiologie autorisant une prévention.
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