Résumé :
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Une part de plus en plus importante de la prise en charge thérapeutique des patients en fin de vie s'effectue au sein de structures hospitalières. En Indre-et-Loire, sur une période de trois mois, 214 certificats de décès liés à une pathologie nécessitant des soins palliatifs ont été exploités. Lorsque les sujets ont bénéficié de soins palliatifs à domicile, ces derniers ont été satisfaisants, mais trop peu de patients en ont bénéficié (10%). Si une unité de soins palliatifs est envisageable au CHU, c'est surtout l'organisation globale du réseau de soins qui doit être renforcée. Le CHU, les hôpitaux périphériques et les structures extrahospitalières doivent être impliqués dans une réflexion commune de multi-partenariat.
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