Titre :
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Prévention du risque aspergillaire chez les patients immunodéprimés (Hématologie, Transplantation). Conduite à tenir en cas de travaux : notre expérience à l'hôpital Saint-Antoine. (2000)
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Titre original:
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Approach to be taken for construction work ; our experience at Hôpital Saint-Antoine.
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Auteurs :
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J.L. POIROT ;
M.M. FORT ;
F. ISNARD ;
Agence Nationale d'Accréditation et d'Evaluation en Santé (ANAES) (Paris, FRA) ;
Société française d'hygiène hospitalière (SFHH) (Brest, FRA) ;
Prévention du risque aspergillaire chez les patients immunodéprimés (Hématologie, Transplantation). Conférence de consensus. (21/03/2000; Paris. FRA)
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Type de document :
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Article
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Dans :
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Hygiènes (vol. 8, n° 6, 2000)
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Pagination :
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431-439
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Langues:
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Français
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Mots-clés :
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Mycose
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Infection
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Appareil respiratoire
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Architecture
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Infection nosocomiale
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Epidémiologie
;
Prévention santé
;
Stratégie
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Homme
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Appareil respiratoire [pathologie]
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Résumé :
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[BDSP. Notice produite par INIST R0x9uzBj. Diffusion soumise à autorisation]. Comme tous les bâtiments collectifs, les hôpitaux doivent subir régulièrement des modifications, réparations, travaux d'entretien... Ces travaux provoquent une remise en suspension de spores fongiques dans l'air et de ce fait, ils sont actuellement reconnus comme l'un des principaux facteurs favorisant la survenue d'atteinte aspergillaire chez les sujets immunodéprimés, population beaucoup plus fréquente qu'autrefois dans nos centres hospitaliers (greffes, chimiothérapies...). Nous sommes donc tous confrontés au problème de la cohabitation entre travaux et patients susceptibles de développer une aspergillose. Nous rapportons notre expérience dans ce domaine. En 1984, à la suite de travaux internes au service d'hématologie, une épidémie d'aspergillose invasive s'est déclarée chez des sujets en aplasie. Des chambres équipées de flux laminaires ont alors été installées dans deux unités pour la prise en charge des patients greffés. Le problème de la gestion de tous les secteurs hébergeant des patients à risque s'est ensuite posé lorsque des travaux de grande envergure ont été entrepris dans l'hôpital. Les mesures décidées et appliquées ont permis de ne pas observer de recrudescence de cas d'aspergillose invasive durant cette période. Nous présentons l'ensemble de notre action, avec ses aspects positifs mais également ses imperfections ou incertitudes, liées essentiellement à une insuffisance de données objectives dans ce domaine.
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