2024/04/12 - Fin de vie
Source : Sénat, 2024/04/08
PROPOSITION DE LOI visant à assurer aux patients le respect de leur choix de fin de vie
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Fin de vie : ce que le projet de loi prévoit
Aide active à mourir, prise en charge par des professionnels de santé, développement des soins palliatifs... Présenté en Conseil des ministres, le projet de loi « relatif à l'accompagnement des malades et à la fin de vie » sera examiné fin mai à l'Assemblée nationale.
Aide active à mourir : une grammaire française de la fin de vie
LA CHRONIQUE DE STÉPHANE DEMORAND. Le texte de loi sur l’aide active à mourir a été présenté mercredi en conseil des ministres. Décryptage de ce futur projet de loi qui suscite les débats.
Loi sur la fin de vie : l'épineuse question du pronostic vital engagé à moyen terme
La loi sur la fin de vie était présentée mercredi matin en Conseil des ministres. Elle prévoit d'accompagner des malades qui souffriraient de maladies graves et incurables, qui leur infligeraient des souffrances insupportables. Pour bénéficier du dispositif, il faut notamment que le pronostic vital soit engagé à moyen terme pour les malades incurables. Mais la notion de "moyen terme" est ambiguë.
Soins palliatifs: pas seulement pour la fin de vie
Cette branche de la médecine fait peur car elle évoque la mort. Pourtant, un grand nombre de personnes peuvent tirer profit d’une mise en place précoce d’un tel accompagnement.
Fin de vie : le contenu du projet de loi
Le projet de loi sur la fin de vie, présenté mercredi 10 avril 2024 en Conseil des ministres après des mois de tergiversations au sein de l’exécutif, ouvre notamment la possibilité d’une assistance au suicide à de strictes conditions. En voici les principaux points.
ÉDITORIAL. Fin de vie, quel progrès ?
Mercredi 10 avril 2024, le gouvernement a présenté son projet de loi sur la fin de vie. « Il comprend des avancées. Sur les soins palliatifs, un plan à dix ans doit permettre de compléter une offre qui reste sous-dimensionnée. Selon la Cour des comptes, la moitié des patients qui devrait bénéficier de ces soins pour soulager leurs souffrances en restent privés aujourd’hui. » Par Philippe Boissonnat, rédacteur en chef à Ouest-France..
Fin de vie : le projet de loi présenté en conseil des ministres ce mercredi
Ce projet de loi, annoncé par Emmanuel Macron en mars dernier, doit ouvrir la possibilité pour les malades de « demander une aide à mourir sous certaines conditions strictes ».
Aide à mourir, soins palliatifs, "maisons d'accompagnement"… Que contient le projet de loi sur la fin de vie présenté en Conseil des ministres ?
Le texte du gouvernement sera examiné en commission spéciale à l'Assemblée nationale dès la semaine du 22 avril, avant d'arriver dans l'hémicycle le 27 mai.
Fin de vie : ce que permettra ou non la loi française, par rapport aux situations les plus observées à l’étranger
« Le Monde » a recensé les pathologies les plus fréquentes qui ont conduit à des euthanasies en Belgique et aux Pays-Bas et a imaginé le sort de mêmes patients en France si le projet de loi, qui est présenté en conseil des ministres mercredi, était voté.
Soins palliatifs : l'aide active à mourir inquiète les professionnels
Le projet de loi « Fin de vie » a été présenté en conseil des ministres mercredi 10 avril. Deux volets s'articulent dans ce texte : une stratégie décennale pour les soins d'accompagnement, nouveau nom donné aux soins palliatifs, et l'introduction d'une aide active à mourir qui serait fortement encadrée.
Soutien aux aidants : «Une personne en fin de vie ne peut pas être seule à domicile»
Alors que le projet de loi «relatif à l’accompagnement des malades et de la fin de vie» doit être présenté en Conseil des ministres le 10 avril, la présidente du collectif «Je t’aide», promouvant les droits et la visibilité des aidants, Corinne Benzekri réclame des moyens renforcés.
Projet de loi sur la fin de vie : la présentation du texte marque "le début d'un débat parlementaire indispensable", affirme Catherine Vautrin
La ministre de la Santé a détaillé, mercredi, le contenu du projet de loi sur la fin de vie, lors du compte-rendu du Conseil des ministres.
Aide à mourir : le point sur un projet de Loi qui divise la France
Le débat sur la fin de vie et l'euthanasie en France franchit une étape décisive. Le Premier ministre Gabriel Attal a annoncé que l'Assemblée nationale se pencherait dès le 27 mai sur un projet de loi encadrant l'« aide à mourir ». Une réforme sociétale, à l'ordre du jour du Conseil des Ministres ce matin, qui promet d'engendrer des discussions passionnées au sein de la représentation nationale -à quelques semaines des élections européennes.
Fin de vie : "Il y a la théorie et la réalité", Emmanuel est atteint d'une tumeur cérébrale et milite pour le droit à une mort digne
Emmanuel est atteint d'une tumeur au cerveau. L'ancien pilote de ligne qui vit près de Lyon, entend bien décider de sa fin de vie. Un projet de loi pour une "aide à mourir" doit être examiné à l'Assemblée nationale à partir du mois de mai. Les orientations du texte ont été dévoilées par le président Macron, en mars.
Fin de vie : on vous présente sept mesures du plan du gouvernement pour renforcer les soins palliatifs et d'accompagnement
L'exécutif doit présenter sa "stratégie décennale des soins d'accompagnement" mercredi en Conseil des ministres, en même temps que la présentation de son projet de loi portant sur l'aide active à mourir.
Source : HuffPost, 2024/04/06
Fin de vie : pour déminer le débat sur « l’aide à mourir », le gouvernement présente son plan pour les soins palliatifs
La ministre de la Santé Catherine Vautrin a annoncé un effort budgétaire de 1,1 milliard d’euros sur dix ans afin de renforcer l’offre sur les soins palliatifs.
Source : France info, 2024/04/06
Fin de vie : cinq questions sur les "soins d'accompagnement" palliatifs que le gouvernement veut développer
Le ministère de la Santé s'apprête à présenter un plan pour mieux soulager et accompagner les malades, indépendamment de l'éventuelle "aide à mourir" qui sera débattue à partir de la fin mai au Parlement.
Source : Ouest France, 2024/04/05
ENTRETIEN. « Une fin de vie digne, c’est pouvoir dire stop et choisir son heure de départ »
Georges Desbordes est décédé à l’hôpital de Cholet, en 2020, à l’âge de 80 ans, emporté par la maladie de Charcot. Son fils, Nicolas, lui rend la parole dans un livre qui aborde aussi la douloureuse question de la fin de vie. L’auteur sera en dédicace au Passage culturel, à Cholet, samedi 6 avril, et participera à un ciné-débat à Beaupréau, mardi 9 avril.
Source : Figaro Vox, 2024/04/05
«La loi sur la fin de vie, entre fausses promesses et contre-vérités»
Invention d’un soin d'accompagnement distinct du soin palliatif, confusion entre euthanasie et suicide assisté... le projet de loi sur la fin de vie, qui arrive en conseil des ministres le 10 avril, est truffé de contre-vérités, dénoncent les médecins Jean-Marie Gomas et Pascale Favre.
Source : Gènéthique, 2024/04/05
Pays-Bas : en 2023, 5,4 % des décès étaient des euthanasies
Dans leur rapport annuel pour l’année 2023, publié le 4 avril, les comités régionaux d’examen de l’euthanasie (RTE) recensent une augmentation de 4 % des euthanasies[1] aux Pays-Bas par rapport à 2022 (cf. Euthanasie aux Pays-Bas : « Regardez ce pays et vous verrez peut-être la France de 2040 »). Au total, 9 068 cas ont été signalés, soit 5,4 % du total des décès cette année-là.
Source : Alliance Vita, 2024/04/05
Loi fin de vie : peut-on ignorer les pressions économiques ?
Le débat sur le projet de loi “fin de vie” comporte des aspects économiques qui méritent d’être explicités pour en éclairer toutes les facettes.
Source : La Croix, 2024/04/04
« Quel regard est porté sur la fin de vie hors de nos frontières ? »
Alors que les débats sur la fin de vie se poursuivent en France, Anne Sénéquier, psychiatre et chercheuse à l’Institut des relations internationales et stratégiques (Iris), observe comment cette question est perçue ailleurs dans le monde, en Asie, en Europe, en Afrique ou en Amérique
Source : The Conversation, 2024/04/04
Éthique et fin de vie : quelques observations depuis un service de gériatrie
Ce mois de mars 2024 marque une nouvelle étape du débat autour de la fin de vie. Le gouvernement s’est prononcé en faveur d’une évolution de la loi actuelle vers « la possibilité de demander une aide à mourir sous certaines conditions strictes » et il vient de transmettre son projet de loi au Conseil d’État.
Si les débats actuels sur « l’aide active à mourir » soulèvent de redoutables dilemmes éthiques, l’accompagnement des personnes « en fin de vie »,souvent gravement malades, ne s’y résume pas.
Source : 20 minutes, 2024/04/04
On vous explique le débat autour de Zoraya, la jeune néerlandaise atteinte de dépression qui veut se faire euthanasier
Zoraya ter Beek doit être euthanasiée au début du mois de mai, chez elle, en compagnie de son petit ami
Source : Univadis, 2024/04/04
Projet de loi sur la fin de vie : soigner n’est pas tuer
Ce mois de mars 2024 marque une nouvelle étape du débat autour de la fin de vie. Le gouvernement s’est prononcé en faveur d’une évolution de la loi actuelle vers « la possibilité de demander une aide à mourir sous certaines conditions strictes » et il vient de transmettre son projet de loi au Conseil d’État.
Si les débats actuels sur « l’aide active à mourir » soulèvent de redoutables dilemmes éthiques, l’accompagnement des personnes « en fin de vie »,souvent gravement malades, ne s’y résume pas.