Résumé :
|
Reverse mentoring, flex office, ikigaï, quiet quitting, éco-anxiété… Ces termes autrefois confidentiels sont devenus monnaie courante, reflétant une transformation des aspirations professionnelles. Nourris par la cyberculture et les réseaux sociaux, de nouveaux codes s’imposent dans l’open space : quête de sens, exigence de liberté et rejet des carrières linéaires fondées sur l’ancienneté. L’idéal méritocratique s’efface au profit d’un nouvel impératif : l’« happycratie », où le bien-être devient une exigence contractuelle. Désormais, les managers ne sont plus de simples chefs, mais des leaders inspirants et influenceurs de proximité. Les anciennes méthodes de management top-down ont vécu, remplacées par un modèle collaboratif qui peine à s’imposer. (4e de couv.)
|