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Résumé :
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La prévention est un enjeu déterminant des politiques publiques actuelles. Le dispositif sanitaire et social français, fondé sur une prise en charge réparatrice des risques sociaux, semble comporter certaines limites à la promotion des politiques publiques préventives. Les actions de promotion du « bien-vieillir » ciblent majoritairement les personnes âgées. Cependant, ces actions manquent de cohérence au vu de la littérature scientifique existante mais également au regard du décalage entre ce qui est proposé et les attentes des bénéficiaires eux-mêmes. Cet article dresse les déterminants de la prévention au « bien-vieillir » et propose une réflexion psycho-sociale ainsi que des recommandations pour les interventions futures. Les interventions associant un partenariat, une co-construction, une communication engageante et une approche centrée sur les besoins des individus seraient les plus efficaces ; notamment, parce qu’elles incluent les aspects motivationnels des individus, la participation de bénévoles, des professionnels en santé et des acteurs locaux. Parallèlement, un objectif global serait de déstigmatiser les pratiques ne relevant pas du « bien-vieillir » afin de promouvoir une approche plus compréhensive des pratiques individuelles. (R.A.)
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