Résumé :
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L'évolution des médiations par les arts a subi et suivi de nombreux remous et tumultes, nourrissant des pratiques et des praticiens en quête de reconnaissance et de légitimité. La vivacité des soignants et des accompagnants a montré tout autant leur créativité que leur souci d'efficacité, et la prise en compte de ces pratiques non médicamenteuses par des instances diverses en a été le bénéfice. Toutefois, le besoin de délimiter ces modes d'accompagnement par un cadre de référence qui n'étouffe pas pour autant la créativité reste majeur. Transmettre, faire valoir (dans le sens de mettre en valeur) et faire savoir (dans le sens de diffuser) sont les désirs communs des contributions de ce numéro, entre recherche clinique et apports novateurs.
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