|
Résumé :
|
Au moment où un recours vient d'être déposé contre la mairie et la Préfecture de Paris pour réclamer une solution aux problèmes posés par la présence d'un camp de toxicomanes à la porte de la Villette, la question du sort à réserver aux salles de shoot semble plus que jamais d'actualité. En effet, ces établissements médico-sociaux expérimentaux, créés en 2016, sont présentés comme l'un des instruments de la politique de réduction des risques. Pourtant, la mise en place difficile de ces nouveaux services publics disruptifs souligne le malaise du législateur face à ces enjeux sanitaires et sociaux. (R.A.)
|