Résumé :
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A coup sûr, le deuxième confinement aggrave les tendances observées au printemps. La consommation de psychotropes, traditionnellement haute en France, a encore augmenté, tout comme les consultations de psychologues et les appels de détresse aux permanences d'écoute. Les étudiants sont particulièrement affectés par l'isolement.Face à cette crise sans fin, certains sombrent dans la dépression, d'autres cèdent à la colère, s'emploient à la fabrication d'un ennemi, d'un bouc émissaire... (Extrait de A vif par Patrice Trapier)
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