Résumé :
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En mai 2016, le nouveau Lycée français international de Pékin ouvre ses portes. Le signalement parental de cas d’épistaxis s’est rapidement emballé via Internet, trouvant arbitrairement une similitude avec le scandale sanitaire du lycée de Changzhou, construit avec des matériaux toxiques. Ceci a eu pour conséquence la fermeture d’une partie de la structure et la nomination d’une mission d’enquête française indépendante. Composée d’un médecin des hôpitaux et d’un ingénieur qualité de l’air, la mission était chargée d’analyser une éventuelle relation entre les signes cliniques observés et la qualité de l’air intérieur.
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