Résumé :
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Dans ce numéro, il est constaté : – une consommation d’alcool en France qui reste, en 2017, à un niveau élevé et relativement stable par rapport aux années précédentes ; – une très grande hétérogénéité des modes de consommation, notamment selon l’âge et le sexe ; – qu’il existe une frange de très gros buveurs ; –que l’impact très élevé de l’alcool sur la mortalité se confirme. Mais comment concilier le fait que la consommation occasionnelle d’alcool soit synonyme de plaisir et de convivialité alors que ses usages sont à l’origine d’une très forte morbidité et mortalité ? Promouvoir ces nouveaux repères de façon concordante, quel qu’en soit l’émetteur – pouvoirs publics, producteurs, industriels, débitants… – serait une bonne manière de leur montrer qu’ils ont fait le bon choix : le choix d’une consommation à moindre risque. (extrait éditorial)
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