Résumé :
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Selon l'UNAFAM, association représentative des proches de malades, 1% de la population, soit 600 000 personnes souffrirait de maladies mentales dont la moitié avec des troubles de type psychotique a besoin d'un cadre de réinsertion structuré. Pour acquises que soient les différences fondamentales entre les personnes déficientes intellectuelles et celles souffrant de maladies mentales, il n'en demeure pas moins que des passerelles existent. Ce dossier rend compte de la cohabitation entre ces deux types de publics dans les établissements et en souligne les paradoxes.
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