Résumé :
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Dyslexie, dysphasie, hyperactivité banalisent la vision et les hypothèses de neuropédiatrie auprès des parents, enseignants et médecins. Loin d'être neutre et scientifique, cette approche est en fait idéologique, entraînant des conséquences dénarcissisantes fort préoccupantes chez les enfants. Le trouble cérébral est partout convoqué, l'enfant reste seul porteur de son trouble, l'entourage est "innocenté". D'autres hypothèses cliniques sont ici proposées, pour chacun de ces symptômes, incluant des aléas du sens, du jeu, du plaisir de vie, de la qualité du cadre de la rencontre parentale et pédagogique... (RA)
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