Résumé :
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Le secteur social et médico-social est en proie aujourd'hui à de grandes mutations. La pression réglementaire, le faux modèle taylorien issu de l'entreprise, l'idéologie sanitaire sont des courants de pensée qui se voudraient donneurs de sens à la tâche primaire du social et du médico-social. Or, la position centrale de l'usager ne doit pas s'imposer dans un dispositif institutionnel qui renvoie à des valeurs sociétales et de civilisation. La déclinaison d'un modèle unique, qu'il soit charismatique ou technocratique, n'est plus une architecture pertinente de management des institutions sociales et médico-sociales. (RA)
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