Résumé :
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... Chaque année, on dénombre de 160 000 à 180 000 cas de nouveaux traumatisés crâniens, parmi lesquels une majorité de moins de 30 ans, et 8 500 sont dits "graves" ou "lourds". Une fois le parcours de soins terminé, ils sont consolidés sans être pour autant guéris puisque les lésions cérébrales sont "acquises". Leur espérance de vie est la même que celle du reste de la population mais se pose le problème de leur retour dans leur famille et dans la société. Le handicap souvent lourd qu'ils présentent est "invisible" et rend d'autant plus difficile sa perception par la population. L'aide à leur apporter afin qu'ils aient une vie la plus normale possible est une aide humaine... (RA)
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