Résumé :
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En se faisant les porte-parole d'intérêts insuffisamment pris en compte par les pouvoirs publics, et en renouvelant l'approche ainsi que le traitement des problèmes sociaux, les associations ont su conquérir une place importante dans la sphère publique et s'imposer comme des interlocuteurs à part entière de l'Administration. Depuis deux décennies, on assiste à un encadrement croissant des relations entre Administration et associations. Cela est justifié par la diversification des acteurs de l'intervention sociale, le poids des budgets en cause, la décentralisation de l'action publique, mais ne doit pas conduire à une instrumentalisation de l'action associative. (RA)
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