Résumé :
|
La vie affective et sexuelle des personnes avec une déficience mentale a été longtemps niée ou dissimulée. Informées insuffisamment, voire pas du tout, on considère maintenant qu'elles ont droit, comme tout le monde, aux joies de l'amour mais aussi à ses risques. L'infantilisation des personnes handicapées mentales constitue l'obstacle majeur à leur épanouissement personnel. Elles n'ont appris ni la pudeur, ni l'autonomie ; pour éviter la procréation, l'homosexualité est parfois encouragée... Il est question également dans cet article de stérilisation et de droit à l'enfant. Le manque d'information et d'éducation sexuelle fait un tort considérable, aussi le planing familial intervient-il de plus en plus souvent dans les établissements.
|