Résumé :
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En dépit des politiques de lutte contre l'échec scolaire mises en oeuvre par l'institution scolaire, des difficultés persistent. Différents types d'explications ont été invoqués pour rendre compte de ces difficultés : des potentialités intellectuelles des élèves, aux difficultés psychologiques, en passant par la thèse du handicap socioculturel. Ces explications ont en commun d'exclure du questionnement la pratique des enseignants et sont devenues aujourd'hui insuffisantes, à elles seules, pour rendre compte des difficultés rencontrées. Il convient en effet de réfléchir à l'impact, dans des contextes éducatifs donnés, des modalités d'intervention pédagogiques effectives sur l'efficience du processus d'enseignement-apprentissage. En s'appuyant sur un certain nombre de travaux issus de différents champs de recherche ainsi que sur une expérience originale développée dans le cadre de la recherche "école primaire", ce texte vise à montrer l'intérêt d'une telle démarche et à soulever la question d'une éventuelle contribution du psychologue scolaire dans la recherche d'une adaptation plus optimale des modalités d'interventions pédagogiques aux besoins spécifiques des élèves.
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