Résumé :
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A partir d'une enquête, les auteurs affirment que s'il n'existe pas d'hérédité alcoolique au sens génétique du mot, la corrélation entre alcoolisme des procréateurs et les "tares" de la descendance n'est pas niable. Ils tentent alors de démontrer ce qui revient à une attente progénétique qui rendra compte des retards psycho-moteurs et des syndrômes neurologiques de ce qui revient aux conditions familiales anormales créées par l'alcoolisme des parents. Même si cette dernière question reste encore controversée, les auteurs, après l'observation des résultats de l'enquête, montrent l'importance de l'influence progénétique de l'alcoolisme parental en présentant des éléments d'informations cliniques et statistiques.
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