Résumé :
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La perte de l'intégrité physique, mais aussi de la vieillesse, déclenche des réactions psychologiques que l'on appelle travail de deuil. L'auteur s'interroge sur ce concept, se plaçant tantôt du point de vue de la personne handicapée fonctionnelle, tantôt du côté du personnel rééducatif. Ce dernier réagit souvent par l'attitude du "il y a toujours quelque chose à faire", invitant le patient à faire de même. "On peut alors se poser la question de qui soigne qui. Le patient doit-il faire un deuil pour éviter au professionnel de faire le sien ?"
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