Résumé :
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La dimension économique des associations a été longtemps méconnue ou négligée : par les pouvoirs publics, d'une part, qui ne voyaient en elles qu'un possible prolongement du monopole étatique et par les comptables nationaux, d'autre part, qui les considéraient comme quantité négligeable sans les identifier vraiment. A l'initiative de l'Université Johns Hopkins, un programme de comparaison international du secteur sans but lucratif dans douze pays a été entrepris, dirigé en France par Edith ARCHAMBAULT.
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