Résumé :
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Le problème du consentement aux soins pose, de part la spécificité de la maladie mentale, des questions ardues. Des exemples cliniques précisent la difficulté du consentement "éclairé", ses limites voire son impossibilité à des moments critiques, les auteurs insistent sur une pluralité des réponses thérapeutiques dans le respect d'un échange authentique avec un patient, qui d'abord est avant tout un sujet. Au sommaire : - éthique et droit du malade mental ; - la loi de 1990 en question ; - le consentement du psychiatrique ; les soins infirmiers et l'éthique au quotidien ; - l'expérimentation de nouveaux médicaments.
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