Résumé :
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La loi HURIET s'articule autour d'une logique de protection des personnes qui amène à élargir son champ d'application au-delà du médicament et à définir la recherche en fonction du bénéfice potentiel pour les personnes qui s'y prêtent. De plus, au plan épistémologique, elle sépare officiellement l'activité de soin de celle se préoccupant de la recherche. Néanmoins, et surtout en psychiatrie, ce texte aurait besoin d'une adaptation que deux ans d'application permettent de mieux cerner. En procédant ainsi, on pourra faire correspondre protection des personnes et développement de la recherche.
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