Résumé :
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"L'évolution décisive vers la psychiatrie ouverte s'est accompagnée d'un désintérêt -sinon d'une réelle aversion- pour les services fermés. Ces derniers évoquaient trop le spectre de l'asile. Les auteurs, s'appuyant sur leur expérience en unité pour malades difficiles, tentent de définir une conception plus dynamique du pavillon fermé, en le situant comme un outil spécifique, susceptible de réaliser, par le biais de "séjours de rupture", en liaison convenable avec l'équipe de secteur, le rétablissement d'une continuité du soin dans des situations de crise émaillant la prise en charge de certains patients."
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