Résumé :
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Le vieux Continent est le plus nucléarisé de tous. Nombre de ses centrales sont vieilles, situées dans des zones soumises à de forts aléas naturels, construites avec des technologies dont la fiabilité est faible. En outre, ces risques sont minimisés par le puissant lobby nucléaire, très présent en France. Articles du dossier : Tchernobyl n'a pas terminé son ouvrage : vingt-cinq ans après le drame, la question de la contamination domine toujours les débats. Enquête. - Les Biélorusses condamnés aux radiations : la radioactivité continue de faire des victimes en Biélorussie, non loin de Tchernobyl. Selon les autorités, le problème n'existe pas. - Bulgarie : bras de fer autour d'une nouvelle centrale - L'Elysée premier lobbyiste européen : l'hebdomadaire autrichien Profil décrypte les coulisses de l'industrie nucléaire française. Une histoire de haute technologie, de milliards d'euros et de réseaux politiques. - Les Britanniques restent avec leur plutonium sur les bras : l'accident de Fukushima prive la Grande-Bretagne de son principal client en matière de retraitement des déchets, le Japon. - En Allemagne, démantèlement, tout doit disparaître ! Comment se débarrasser des centrales après leur fermeture ? Les exploitants allemands sont confrontés au problème depuis plusieurs années et commencent à acquérir un certain savoir-faire. - En cas d'accident, on improvisera : un rapport officiel publié à la mi-mars et passé curieusement inaperçu révèle que les exploitants de l'unique centrale néerlandaise n'ont pas de plan d'urgence satisfaisant en cas d'accident grave.
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