| Titre : | Pollution par les particules dans l'air ambiant. Synthèse en vue d'un appui à l'élaboration de seuils d'information et d'alerte du public pour les particules dans l'air ambiant. |
| Auteurs : | Agence Française de Sécurité Sanitaire de l'Environnement et du Travail (AFSSET) (Maisons-Alfort, FRA) |
| Type de document : | Rapport |
| Editeur : | AFSSET, 03/2009 |
| ISBN : | 978-2-11-097832-5 |
| Description : | 137p. pdf / tabl., fig., ann. |
| Langues: | Français |
| Mots-clés : | Pollution atmosphérique ; Particule atmosphérique ; Exposition ; Population exposée risque ; Toxicologie ; Effet ; Dose effet ; Mesure risque ; Etat santé ; Polluant ; Santé environnementale ; Nitrate ; Seuil ; Information ; Alerte environnementale ; Analyse air ; Recommandation ; France |
| Résumé : | Suite à une saisine du 2 août 2007 du Ministère de la santé et du Ministère de l'écologie, l'Afsset publie un avis et un rapport d'expertise sur la question des particules dans l'air ambiant et des seuils d'information et d'alerte qui leur sont associés. Le document d'expertise collective présente tout d'abord les généralités sur les particules et leur mesure en réseau puis les typologies des particules dans l'air ambiant. Il traite ensuite de la toxicologie des particules : il fournit des informations relatives aux effets à court terme sur la santé humaine puis il étudie plus particulièrement les données relatives au nitrate d'ammonium qui se trouve dans la fraction la plus fine des particules habituellement mesurées. Enfin, il apporte des éléments de discussion sur l'évaluation des risques et les seuils d'informations/d'alerte du public concernant la pollution particulaire et présente un certain nombre de recommandations. S'appuyant sur les résultats de l'expertise collective, l'avis de l'Afsset estime que l'abaissement de la valeur moyenne de la concentration particulaire sur le long terme amènerait à un bénéfice sanitaire plus important qu'une stratégie de gestion focalisée sur les pics journaliers de pollution particulaire. Il recommande par ailleurs de cibler la communication vers les populations plus sensibles (femmes enceintes, nouveau-nés, personnes atteintes de pathologie cardiovasculaire ou respiratoire...) et demande, pour une révision des seuils d'information et d'alerte actuellement appliqués aux particules, de considérer conjointement les données épidémiologiques du programme de surveillance air et santé (Psas) générées pour un ensemble de villes françaises et la distribution statistique des niveaux journaliers de particules au niveau national. |
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