Titre :
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Nouvelle norme de dosimétrie de bruit : impact sur les niveaux sonores relevés en maintenance aéronautique. (2006)
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Titre original:
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New standard of individual noise dosimetry : effects on noise levels measured in aircraft maintenance industry.
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Auteurs :
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M. KLERLEIN ;
C. CARDINES ;
C. FAHMI ;
C. Joly ;
V. LE FLOCH ;
I. LE GAI ;
Air France. Service médical du travail. Direction de la Maintenance. Roissy. FRA
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Type de document :
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Article
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Dans :
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Archives des maladies professionnelles et de l'environnement (vol. 67, n° 6, 2006)
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Pagination :
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843-848
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Langues:
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Français
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Mots-clés :
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Maintenance
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Norme
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Homme
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Bruit
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Exposition professionnelle
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France
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Europe
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Résumé :
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[BDSP. Notice produite par INIST-CNRS vX6GR0x7. Diffusion soumise à autorisation]. Objectif : Le but de l'étude est d'objectiver l'influence de la nouvelle version de la norme de mesurage du bruit NF S 31-084 sur le niveau sonore relevé par dosimétrie individuelle dans le domaine de la maintenance aéronautique. Méthode : Une centaine de dosimétries individuelles de bruit de mécaniciens aéronautiques ont été traitées selon la nouvelle version de la norme NF S 31-084. Les valeurs d'exposition au bruit calculées selon la norme dans différents groupes d'exposition homogènes (GEH) ont été comparées aux valeurs moyennes d'exposition antérieurement utilisées. Résultats : Les valeurs d'exposition au bruit calculées selon la nouvelle version de la norme sont significativement plus élevées (4 à 10 dBA) que les valeurs moyennes de chaque groupe d'exposition. Les niveaux sonores des mécaniciens aéronautiques selon la nouvelle version de la norme sont de l'ordre de 88 dB (A) pour les activités au hangar, et de l'ordre de 92 dB (A) pour le travail en piste. Conclusion : En intégrant l'incertitude de mesure et l'incertitude d'échantillonnage dans le but de garantir une meilleure représentativité des mesures de bruit, la nouvelle version de la norme NF S 31-084 donne des évaluations considérablement plus élevées de l'exposition au bruit dans un milieu où le niveau sonore est très fluctuant par nature. Si ce mode de calcul est plus protecteur au sens réglementaire pour les salariés, il ne traduit pas pour autant une aggravation de leurs conditions de travail.
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