Titre :
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Predicting Geographical Human Risk of West Nile Virus - Saskatchewan, 2003 and 2007. (2009)
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Auteurs :
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Tasha-Y EPP ;
BERKE (Olaf) : CAN. Department of Population Health. Ontario Veterinary College. University of Guelph. Guelph. ON. ;
Cheryl-L WALDNER ;
Large Animal Clinical Sciences. Western College of Veterinary Medicine. University of Saskatchewan. Saskatoon. SK. CAN
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Type de document :
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Article
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Dans :
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Canadian journal of public health (vol. 100, n° 5, 2009)
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Pagination :
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344-348
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Langues:
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Anglais
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Mots-clés :
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Virose
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Homme
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Facteur risque
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Risque
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Zoonose
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Arbovirus
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Infection
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Virus
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Canada
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Amérique
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Amérique du Nord
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Résumé :
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[BDSP. Notice produite par INIST-CNRS qAEpHR0x. Diffusion soumise à autorisation]. Objectifs : Expliquer l'utilisation d'un modèle de prévision des secteurs à risque modéré, moyen et élevé pour les humains de contracter le virus du Nil occidental (VNO) en 2003 et en 2007 dans la province de la Saskatchewan. Déterminer les secteurs à risque uniformément élevé d'une année à l'autre, ainsi que les variables environnementales importantes dans les secteurs à risque élevé. Méthode : Nous avons obtenu auprès du ministère de la Santé de la Saskatchewan le nombre de cas séropositifs pour le VNO confirmés en laboratoire, par municipalité rurale. Statistique Canada nous a fourni le nombre de personnes à risque par municipalité rurale. Des variables climatiques et d'habitat ont été intégrées dans un modèle d'analyse discriminante afin de produire des cartes du risque. Résultats : Les modèles d'analyse discriminante étaient exacts à 67% en 2003 et à 44% en 2007. Les variables climatiques et d'habitat sont demeurées importantes dans tous les modèles, mais certaines variables d'habitat avaient moins d'importance en 2007. Les cartes du risque produites à partir du modèle chronologique de 2007 montrent que le risque a eu tendance à diminuer en allant du Sud-Ouest vers le Nord-Est. Conclusion : Ces modèles pourraient être utiles pour indiquer les secteurs à risque élevé d'une année à l'autre ou selon des données historiques. Les régions à risque élevé se caractérisent par une pluviosité relativement faible en juin et en juillet suivie de hausses de la température en juillet et en août, avec une couverture végétale et hydrique plus limitée que dans les régions à risque modéré.
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