Résumé :
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Désormais, tout le monde en convient : pas d'acte médical sans consentement, si le patient est en état d'exprimer sa volonté. C'est clairement inscrit dans la législation française. Et cela concerne aussi bien les examens de toutes sortes que les traitements. Bien des questions demeurent cependant. Pour une personne atteinte d'une maladie grave, le consentement peut-il être pleinement " libre et éclairé " ? Le malade n'est-il pas soumis à de multiples contraintes ? En outre, varient énormément d'un patient à l'autre les aptitudes à se rendre compte de sa situation, à comprendre l'information donnée et à se forger un jugement réfléchi. Que signifie alors le terme de " consentement " ?
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