Titre :
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Évaluation du Programme de dépistage de la toxoplasmose chez les femmes enceintes du Nunavik, 1994-2003. (2008)
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Auteurs :
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Elaine LAVOIE ;
Angéla DAVYS NDASSEBE ;
Suzanne GINGRAS ;
Jennifer GRANT ;
Bruno HUBERT ;
Benoit LEVESQUE ;
Michael LIBMAN ;
PROULX (Jean-Francois) : CAN. Régie régionale de la santé et des services sociaux du Nunavik. Kuujjuaq. PQ. ;
Département de médecine sociale et préventive. Université Laval. Québec. CAN ;
Laboratoire de microbiologie. Hôpital Général de Montréal. Centre universitaire de santé McGill. Montréal. PQ. CAN ;
Unité de recherche en santé publique. Centre de Recherche du Chul. Québec. PQ. CAN
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Type de document :
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Article
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Dans :
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Canadian journal of public health (vol. 99, n° 5, 2008)
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Pagination :
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397-400
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Langues:
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Français
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Mots-clés :
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Toxoplasmose
;
Evaluation
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Programme
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Dépistage
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Homme
;
Femme
;
Grossesse
;
Parasitose
;
Infection
;
Canada
;
Amérique
;
Protozoaire
;
Amérique du Nord
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Résumé :
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[BDSP. Notice produite par INIST-CNRS mFjR0x8o. Diffusion soumise à autorisation]. Objectifs : 1) Évaluer la capacité du système de dépistage de l'infection par Toxoplasma gondii chez les femmes enceintes du Nunavik à identifier les séroconversions en cours de grossesse et à assurer le suivi des femmes et de leur enfant ; et 2) évaluer les conséquences de l'infection congénitale par Toxoplasma gondii. Participants : Femmes en âge de procréer et leurs enfants nés de janvier 1994 à septembre 2003. Lieu : Nunavik. Intervention : Les données sérologiques et d'hospitalisations ont permis d'identifier les cas potentiels d'infection pendant la grossesse et de toxoplasmose congénitale. Une révision des dossiers médicaux a été réalisée. Des statistiques descriptives concernant le suivi médical et le traitement des cas suspectés ont été compilées. Résultats : 31 femmes ayant accouché de 32 enfants ont été identifiées comme cas potentiels. Selon les dossiers médicaux, 19 femmes avaient une infection potentielle pendant la grossesse, les autres étant clairement infectées avant la conception. Une femme a eu une séroconversion certaine. Cette femme ainsi que la plupart des 18 autres femmes avec une infection potentielle et leur enfant ont été traités de façon appropriée. A cause de données manquantes, il a été impossible de déterminer avec certitude le statut final de deux enfants. Le diagnostic d'infection congénitale a été rejeté chez les autres enfants. Conclusion : Les femmes suspectées d'avoir été infectées et leur enfant ont généralement été pris en charge par le système de santé. Aucune séquelle de la toxoplasmose congénitale n'a été identifiée durant la période étudiée.
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