Titre :
|
Se dépenser plus pour gagner en qualité de vie. (2009)
|
Auteurs :
|
Hala NASSIF ;
Jean-François Toussaint
|
Type de document :
|
Article
|
Dans :
|
Questions de santé publique (n° 5, Juin 2009)
|
Pagination :
|
1-4
|
Langues:
|
Français
|
Mots-clés :
|
Inactivité physique
;
Comportement préjudiciable santé
;
Facteur risque
;
Maladie chronique
;
Activité physique
;
Promotion santé
|
Résumé :
|
Notre mode de vie actuel privilégie les déplacements motorisés et incite à augmenter le temps passé sans stimulation physique. Ceci est responsable de l'augmentation de la sédentarité1. Les recommandations en vigueur préconisent 30 minutes d'activité physique d'intensité modérée chaque jour, mais 54 % de la population française ne parvient pas à se maintenir à ce niveau minimum favorable à la santé [1]. La sédentarité est l'un des facteurs de risque favorisant le développement de très nombreuses maladies chroniques, et son niveau est tel désormais que les bénéfices sanitaires de la réactivation physique sont importants dès le premier pas pour toutes ces pathologies et à tous leurs stades. Le défi auquel sont maintenant confrontés les pouvoirs publics est de pouvoir rétablir, pour l'ensemble de la population, un niveau d'activité correspondant à notre bagage génétique et adapté à nos besoins de santé. Ceci nécessite d'une part de comprendre les déterminants de l'activité physique, et d'autre part d'en mesurer les répercussions sur l'état de santé des populations. (RA).
|
En ligne :
|
http://www.iresp.net/iresp/files/2013/04/090616144106_qspnumero5-activit.pdf
|