Résumé :
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[BDSP. Notice produite par CREDES XFR0xWpV. Diffusion soumise à autorisation]. En 2001, les ménages, les sociétés non financières et les administrations publiques ont moins recouru au crédit bancaire que les deux années précédentes. En revanche, les sociétés ont nettement accru leurs émissions de titres de dettes, notamment d'obligations, alors que les administrations publiques n'ont que légèrement renforcé les leurs. Les sociétés ont par ailleurs réduit leurs prises de participation dans les entreprises étrangères et diminué en conséquence leurs émissions d'actions. Les non-résidents ont réalisé d'importants achats de titres français, ce qui s'est traduit par des entrées nettes de capitaux sous forme d'obligations et de titres de créances négociables. De ce fait, la part de la dette publique française qu'ils détiennent s'est accrue. Les ménages ont augmenté leurs flux de placements : contrairement à 1999 et 2000, ils ont privilégié les avoirs les plus liquides (dépôts à vue, livrets et opcvm monétaires) et ceux perçus comme les moins risqués (épargne contractuelle, contrats en euros des sociétés d'assurance, voire actions françaises cotées de préférence aux actions étrangères).
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