Résumé :
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Le combat mené depuis vingt ans par les personnes infectées par le VIH/sida et les associations qui les soutiennent a considérablement fait évoluer la relation entre le médecin et le malade. Il ne faudrait cependant pas se tromper de combat : l'instauration d'une véritable démocratie sanitaire n'implique pas que le patient prenne la place du praticien. En revanche, il est important que la patient puisse disposer, sans aucune réserve, des informations médicales qui le concernent, car c'est ainsi que pourra s'établir un dialogue de qualité.
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